gay-crade

Il y a quelques temps de cela, j'habitait à la campagne, et l'un des voisins assez proche était un paysan.

A l'époque déjà, je kiffai les odeurs de male, les slips odorants, alors autant vous dire qu'un paysan ça renifle sérieu !

Mélange d'odeurs de ferme et d'étable avec la sueur en fin de journée du male qui a bien fait son labeur !

Je le matais discrétement quand il passait faire les travaux de champ dans celui à côté de chez moi.

Le mater sur son tracteur, l'allure viril me faisait triquer !

Je me tripotai la teub en fantasman sur ce que je pourrai faire avec lui.

Etant une connaissance de la famille, il m'arrivait d'aller le voir pour un apéro ou filer un coup de main à mes heures perdues.

Je me retenai pour ne pas trop le mater directement, histoire de ne pas éveiller les soupcons car je ne savait pas s'il était gay ou pas. On ne parlait pas de cela, pas du genre à bavarder la dessus.

Pour vous le décrire, environ 1m70, un légérer bide, un peu poilu du torse, beaucoup des jambes et la quarantaine à l'époque.

Autant vous dire que j'attendais l'été pour le mater dans son short torse poil, bien en sueur ! Mater ses aisselles poilu en imaginant y foutre ma langue, et le lécher sur tout le corps pour finir par son paquet que j'imaginait bien odorant la teub et la pisse, l'effort et la ferme !

Un jour, n'y tenant plus, j'observai ces va et vient et je me suis arangé pour m'introduire discrétement dans l'étable, qui n'était autre qu'un grand hangard avec des bottes de foin et paille où je suis allé me cacher.

J'attendais le moment où il viendrait chercher ces vaches pour la traite du soir... ce qui dura un petit moment.

Je faillit même m'endormir quand j'entendi du bruit. C'était lui, en jean et chemisette débraillé. Il s'occupa à quelques rangement dans le hangard, je me tripotai en l'observant. Puis il partit traire.

Je me plauchai un bon moment en pensanr à lui, comment j'aurai pu le pomper, là au milieu du hangard et des vaches

Bien lui bouffer le gland fumant, avec de bonne odeurs de pisse et teub massérer en cette fin de journée, bien lui bouffer les boules.

Et le laisser me pilonner la bouche jusqu'au bout !

Il revint après la traite pour rentrer ces vaches, je continuai de me palucher et je gicla rapidement dans le foin, aussi discrètement que possible, gardant mes rales de plaisir pour moi.

Je bouffa le jus qu'il me reste sur les doigts et le gland en imaginant dégusta sa semance à lui.

Une fois parti, j'attendis la tombé de la nuit pour m'échapper.

A suivre...