Mercredi 7 août 3 07 /08 /Août 15:39

La nuit fut calme

On s'est couché et endormit rapidement, moi non je le mattai, discrètement j'ai renifler son aisselle, son bras à côté de moi été relevé, je bandais à nouveau

Au matin, j'eu droit à quelques caresses et une bonne pelle virile, il me dit : j'ai adoré baisé avec toi, t'es bien salopard j'adore

On peut recommerncer lui dis je

Oui, viens avec moi à l'étable, après la traite on s'amusera un peu ...

Je l'aida pour que la traite se passent un peu plus vite et une fois le taf finit, il ne tarda pas a venir me chauffer et me dit : t'es un bon cochon et j'ai envie de faire une bonne baise là dans la paille comme des bêtes

Ok t'as envie de quoi

Fous toi à poil je revien

Mets toi à quattre patte me dit il en revennant avec un pot qu'il balanca dans la paille

Il sorti sa teub pour que je lui bouffe, quelle bonne odeur et en plus il en avait profiter pour pisser juste avant de revenir

Quel délice, je sucai hardemment en carressant son cul et passant un doigt sur sa raie chaude et humide

Hummm dit il c'est bon, mets toi à 4 pattes

Je m'exécuta, il vint me sucer par dessous allonger dans la paille la teub dressé qu'il me fourga à nouveau dans la gueule

Au bout d'un bon moment de suce, il stoppa : arrête je vais juter me dit il

Il pris le pot, qui en fait était une sorte de pot de graisse pour le lubrifier le trou, je compri que j'allais y passer

Les odeurs de fumier, des vaches autour me faisait tourner la tete, son doigt dans mon trou m'exalatait

T'es prêt me dit il

Il remonta mon cul pour y introduire sa keu, cela coulissa doucement avec la graisse

J'étais soumis à sa teub, j'aimai cela

Il accelera le rythme, je geulai un peu

Ouai vas y mon salop, tu aimes ?

Oui, mais j'avais jamais fait

Dans notre fougue je me retrouva la main dans le fumier de la vache juste à côté de nous, cela me dégouta

ALors mon cochon, tu aimes la merde ?

Non du tout

Ouai mai j'ai envie que tu t'y vautre dedans, tu vien de m'exiter la

Il me retourna sur le dos, en plein dans le fumier des vaches, il me baisa plus fort et juta rapidement dans mon trou

J'étais souillé de partou, il retira sa keu et me la présenta pour la décrasser

J'étais un peu rebuté mais au point où j'en était...

Je lui lecha sa cul odorant mon cul et son jus, il me branla en meme temps pour bien jouir

Il m'enfonca sa keu dans la gueule pendant que je jutais, il lecha mon jus et me demanda de pousser mon anus pour sortir son jus a lui qu'il récupéra, et il vint me roulé une pelle avec ce mélance, il s'allongea sur moi, les mains dans le fumier, sa keu contre la mienne, et il me devérsa nos jus dans la gueule avant de me rouler une pelle

J'étais plus que fatigué et crade, il me décrassa au jet avant de me ramener pour me doucher...

 

A suivre

 

 

 

Par gay-crade
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Vendredi 31 mai 5 31 /05 /Mai 21:32

Il s'arrêta un peu de me pilonner la bouche, je lui lécha les couilles, ça sentais l'homme, l'effort, la ferme...

je me branlais, il me dit : t'es exité mon cochon !

Oui, je peux te lecher le torse ?

Il ricana : ouais, vient la

Il se posa sur le bord de la table, et je me mis a remonté du vendtre aux pecs, ces poils glissait sous ma langue

Très exité, je frotai ma bite contre la sienne, la chaleur me boosta, je lui leva les bras pour torcher mon nez dans ses aisselles; je ne me rendis pas compte que ma queue commencai à sortir du sperme

Et mon cochon tu mouoille à fond

Il me pris la queue et remonta sa main pour racler le juset le bouffer; puis me roula une pelle c'était divin

Puis il me rabessa à sa bite pur me la faire pomper à fond, pour juter assez vite.

Je pris tout son jus en fond de gorge, j'avala tout, il etait en moi, j'étais en extase

Il me dit : passe la nuit ici...

 

A suivre

Par gay-crade
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Mardi 21 mai 2 21 /05 /Mai 22:51

Après cette partie de branle, nous buvames à nouveau une bière, et il s'essuya avec le torchon avec lequel je mettais moi meme essuyé

- Je vais pisser me dit-il

Une fois qu'il quitta la pièce, je pris le torchon pour le renifler, le bouffer afin de profiter de son jus, j'étais en transse

Je ne croyais pas à ce qu'il marrivait

Il revint, je lui dit que j'étais claqué après tout cela et j'allais rentré

Il me dit, : t'es pas en état, et puisje tai vu bouffé le torchon

La j'étais mal

Je me doutais bien que t'étais un bon pd; t'inquiète pas, je suis des 2 bords...

Et la il me pris par la nuque et me roula une pelle bien baveuse

Son halène de bière m'exitait

A travers no jeans, ils me pressa sa queue contre la mienne

Il bandait ferme à nouveau et moi aussi

Il me dit : ça fait un moment que tu m'exites bien, pourquoi tu crois que je te demande autant de coup de main

Ta envi de quoi mon pti pd

Tout ce que tu veux

Hummm, c'est vrai ça, et quoi par dessus tout

Te sucer, te lecher

Me lecher dit il ?

Oui, tes poils, tes aisselles, ton entre jambe avec tes bonnes odeurs de mec, de paysan qui mexites putain

Hummm, tu es au dela de mes souhait mon pti Romain, les femmes aime le savon, mais la toi tu va être servi

Il me baissa au niveau de sa queue et me l'enfonca en pleine gueulle

De bon coup de boutoir, visiblement très exité aussi

Elle était bonne, encore un peu gluante, et son pubis sentait super bon la pisse, la sueur, la ferme....

 

 

A suivre

Par gay-crade
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Lundi 11 février 1 11 /02 /Fév 22:11

J'étais venu rendre un coup de main à mon voisin le paysan pour l'aider à décharger... des bottes foin. Bien sur j'aurais aimé autre chose..., mais je pouvai déjà bien le mater en sueur, le torse luisant, le poil des dessous de bras collé de sueur.

De bonnes éfluves me parvenaient aux narines, je ne pensai qu'à ne pas bander. la tache plutot ardu me calma aussi de ce côté la. Une fois la scéance fini, il m'invita à boire un coup. Il était ces derniers temps un peu plus tactile. Il accompagna son invitation par une tape sur le dos, limite caresse d'épaule.

On buvai nos bières, l'odeur de male bien viril avai envahi la pièce.

J'ai chaud me di til, allons dehors un peu.

Il retira ses baskets, ouf, c'est pas ce que je préfère mais quel odeurs !J'aurais tout fait pour lui.

Il commencait a se faire tard, le décahrgement des bottes avait eu lieu après la traite... je vous laisse imaginé comme il sentait putain !!

Il m'invita à manger, en me demandant si je n'avais rien d'autre de prévu... pas de problèmes !!!

On continua le repas à la bière, le voir bouffer (c'est le bon terme!) et boire m'exitait, on discutait tout en regardant la tv, jusqu'à ce qu'arrive l'heure d'un film érotique..

Là, gène un peu de ma part, lui me dit : tiens ca m'arive de mater ces conneries, pour me défouler ; et toi ?

- euh vouai ça 'arive

- soit pas géné c'est humain

et un peu bourer me dit : ta pa envi qu'on 'en tape une là en matan, moi sa va me faire du bien après cette longue journée

J'hallucinais!!!

Tu diras rien me dit il, on se fait du bien un coup

Putain je bandait dure. Il sortit sa queue desouss la table, et commença à se branler...

je fis de même, hélas je ne voyais pas sa queue

Il faisait des commentaires sur le film, je renchérissait

Je me branlai surtout en le mattan discrétmeent et en mattant les mecs de ce film hétéro...

J'étais en transse, quand il fini par juter en salongeant un peu plus sur la chaise, avec le recul javais vue sur sa belle keu que je voyai pour la 1ère fois et d'où sorti de long jet de jus

Je ne tenais plus et je jouis également mais sous la table

Il me dit : putain elle nous a bien exiter la salope

Ouais t'as raison, lui ai je répondu

Ta un truc pour que je néttoie, désolé c'est parti sous la table.

T'inquiète me di til, prendre le torchon la.

j'essuyai mon jus dans le torchon, je me demandais s'il aurait l'idée de le reniflé une fois que je serai parti

Il m'invita à reprendre une bière : ça fout la soif la baise, me dit il...

 

A suivre

Par gay-crade
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Lundi 7 janvier 1 07 /01 /Jan 22:26

Mon paysan ne s'était pas rendu compte de mon vol. J'avais pris l'habbitude de renifler ce slip bien odorant tout en me branlant frénétiquement, en pensant à ce beau male viril que je ne pouvais avoir.

Un soir, complétement en délire et manque de sexe, je me dirigeait vers sa ferme avec une idée bien précise en tête.

Je m'approcha disrètement d'un des hangard, là où était garé les machines agricoles.

Je monta dans l'un des tracteurs, je bandai comme un fou. Je me mis à lècher le siège en cuir du tracteur, là où mon paysan posait son cul. Je me branlai comme un dingue. Je m'imaginai là en train de le sucer, lui assis sur son siège, et m'offrant à lui pour une bonne défonce. Je me branlais de plus en plus, reniflant son slip que j'avais apporté et je finis par juter sur le siège. Une grosse jiclée que j'étala sur le siège avec mon gland, jusqu'à ce que tout soit bien étalé et sec. Il allait s'assoir dans mon jus sans le savoir, et j'aimais cela.

 

A suivre

Par gay-crade
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